GP F1 Singapour (2018)
1. HAMILTON (Mercedes)
2. VERSTAPPEN (Red Bull)
3. VETTEL (Ferrari)
La Course
Départ donné de nuit, Hamilton prend le meilleur et conserve sa première place. Derrière, Vettel fait le forcing pour passer Verstappen dès les premiers enchainements. Il y parvient juste avant la sortie du safety car puisque derrière les deux Racing Point Force India jouent à « touche-touche », laissant Ocon dans le mur. Une fois la course relancée, Hamilton va rester en tête, Vettel à ses trousses sans toutefois pouvoir se rapprocher. Chacun devance son poursuivant. Vettel tente l’undercut et sort le premier pour changer ses pneumatiques. Seulement voilà, Ferrari n’a pas pris pour option d’avoir des pneumatiques jaunes (tendre), qui sont ceux qui marchent le mieux à Singapour ce WE de Grand Prix. De son côté, Red Bull joue à merveille avec le trafic et alors que Vettel bute derrière Perez et perd de précieuses secondes, Verstappen ressort des stands finalement juste devant le pilote Ferrari et reprend sa 2e place. Vettel comprend vite qu’entre ses pneumatiques et la typologie du circuit la course est jouée. De son côté, Hamilton caracole en tête, excepté lorsque Ricciardo reste devant le temps de changer ses pneumatiques. Le classement ne bougera pas et sera identique à la grille de départ pour les 6 premières places. Derrière, l’animation viendra d’affrontement plus que rugueux entre Perez et Syrtkin entre autre. Des luttes de fond de grille qui vont perturber la remontée des leaders malgré les drapeaux bleus entraînant quelques pénalités, dont Romain Grosjean. Hamilton a imprégné sa totale maîtrise de la course et du WE et prend une sacrée avance au championnat…
✔ TOP Hamilton redoutable et au-dessus des autres ǀ Verstappen bien présent ! ǀ Stratégie de Mercedes en course ǀ Les 2 Renault dans les points ǀ Alonso engrange les points ǀ Charles Leclerc assure ǀ Ricciardo récompensé ǀ Raikkonen agressif en course ǀ Dépassement de Vettel en début de course ǀ Qualification de Grosjean ǀ Gestion pneus et trafic des Red Bull | ✖ FLOP Stratégie pneus désastreuse de Ferrari ǀ Haas pas dans le ton de la course ǀ Perez mauvais perdant ? ǀ Toro Rosso et Williams ǀ Ocon Malheureux ǀ Rififi chez Racing Point Force India ǀ Non respect des drapeaux bleus par certains pilotes |
CLASSEMENT DU GP F1 DE SINGAPOUR 2018
53 tours de 5,065 km = 308,828 km
Pos. | no | Pilote | Écurie | Tours | Temps/Abandon | Grille | Points |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | 44 | ![]() |
Mercedes | 61 | 1 h 51 min 11 s 611 (166,578 km/h) | 1 | 25 |
2 | 33 | ![]() |
Red Bull-TAG Heuer | 61 | + 8 s 961 | 2 | 18 |
3 | 5 | ![]() |
Ferrari | 61 | + 39 s 945 | 3 | 15 |
4 | 77 | ![]() |
Mercedes | 61 | + 51 s 930 | 4 | 12 |
5 | 7 | ![]() |
Ferrari | 61 | + 53 s 001 | 5 | 10 |
6 | 3 | ![]() |
Red Bull-TAG Heuer | 61 | + 53 s 982 | 6 | 8 |
7 | 14 | ![]() |
McLaren-Renault | 61 | + 1 min 43 sec 011 | 11 | 6 |
8 | 55 | ![]() |
Renault | 60 | + 1 tour | 12 | 4 |
9 | 16 | ![]() |
Sauber-Ferrari | 60 | + 1 tour | 13 | 2 |
10 | 27 | ![]() |
Renault | 60 | + 1 tour | 10 | 1 |
11 | 9 | ![]() |
Sauber-Ferrari | 60 | + 1 tour | 14 | |
12 | 2 | ![]() |
McLaren-Renault | 60 | + 1 tour | 18 | |
13 | 10 | ![]() |
Toro Rosso-Honda | 60 | + 1 tour | 15 | |
14 | 18 | ![]() |
Williams-Mercedes | 60 | + 1 tour | 20 | |
15 | 8 | ![]() |
Haas-Ferrari | 60 | + 1 tour (dont 5 s de pénalité) | 8 | |
16 | 11 | ![]() |
Racing Point Force India-Mercedes | 60 | + 1 tour | 7 | |
17 | 28 | ![]() |
Toro Rosso-Honda | 60 | + 1 tour | 17 | |
18 | 20 | ![]() |
Haas-Ferrari | 59 | + 2 tours | 16 | |
19 | 35 | ![]() |
Williams-Mercedes | 59 | + 2 tours | 19 | |
Abd. | 31 | ![]() |
Racing Point Force India-Mercedes | 0 | Accrochage | 9 |
Meilleur Tour
Kevin Magnussen – Haas-Ferrari – 1 min 41 s 905 (vitesse moyenne : 178,861 km/h)
En savoir plus :
Formule 1 – Photos Formule 1
- BMW 325ti Compact E46 La BMW Série 3 Compact E36, malgré un joyeux patchwork technique, a connu un franc succès. Seulement voilà, la concurrence n’est pas restée inactive, et Audi (A3) et Mercedes-Benz (Classe C Coupé Sport) sont venu contester le rôle de la compacte allemande premium. En juillet 2001, BMW dévoile ainsi sa nouvelle Série 3 Compact E46. ...
- Porsche 911 Carrera RS 2L7 série E/F Porsche est vexé ! Il faut dire que BMW et Ford lui font vivre un enfer en course de tourisme catégories Groupe 2 et Groupe 4. Alors, bien que le nouveau PDG de Porsche, Ernst Fuhrmann vise à amener la Porsche 911 vers la fin qu’il juge trop datée dans son architecture, en compétition elle ...
- ASA 1000 GT L’ASA 1000 GT a été officiellement dévoilée au salon de Turin en novembre 1963, mais en réalité il faut remonter dans le temps pour décrypter son histoire complexe. Au départ, c’est à Maranello qu’une « Ferrarina », comprenez une petite Ferrari, est étudiée. Le rusé Enzo pense à contrer des modèles sportifs mais plus populaires. ...
- Peugeot 206 S16 Depuis l’arrêt de la Peugeot 205 GTI, le constructeur français n’a pas osé la remplacer directement, et c’est une descendance à deux têtes, ou plutôt deux gammes qui a repris le flambeau avec les Peugeot 106 XSI puis S16 et 306 S16. En septembre 1998, Peugeot démarre son retour sur le segment de la Peugeot ...
- Porsche 911 2 litres Au salon IAA de Francfort 1963, Porsche frappe un grand coup en présentant sa toute nouvelle Porsche 901. Un patronyme qui va être de courte durée, puisque Peugeot va lui contester cette nomenclature avec le « 0 » au centre lors du salon de Paris 1964. Voilà donc la Porsche 911 (changement en novembre 64) ...
- Renault 19 16S Surnommée l’arlésienne, la Renault 19 16S va finalement arriver dans les salons et les show-rooms des concessions en mai 1990, soit deux ans après le lancement de la gamme 19. La faute à une mécanique multisoupapes qui a dû patienter pour des raisons de difficultés d’industrialisation. En effet, le quatre cylindres 12 soupapes des Renault ...
- Porsche 911 2L4 S série E/F Depuis 1968, Porsche n’a de cesse d’améliorer sa voiture de sport : la Porsche 911. Empattement allongé pour une meilleure tenue de route en 1968, passage au Flat 6 de 2,2 litres en 1969 pour la série C, c’est en 1971 pour le millésime 72 que Porsche change de nouveau le Flat 6 de sa ...
- Seat Ibiza SXI Fiat largue Seat ! Pas grave, le constructeur espagnol va voler de ses propres ailes et finalement se faire racheter par Volkswagen. Une aubaine. Entretemps, Seat va mettre les petits plats dans les grands pour sa première Ibiza qui doit définitivement propulser le constructeur espagnol dans le marché occidental avec crédibilité. Alors les clients découvrent ...
- Dino 246 GT Depuis 1965, Enzo Ferrari sous sa marque Dino a cédé à la pression des anglais avec l’étude d’un V6 compact d’une part, et de l’implantation en position central arrière. Après plusieurs expérimentations tant en compétition, que dans le développement d’une berlinette de route, c’est finalement en 1967 que la Dino 206 GT est dévoilée pour ...
- Volkswagen Golf 2 G60 Rallye Avec l’arrêt des groupe B en Championnat du Monde des Rallyes, Volkswagen veut revenir en compétition en groupe A pour 1990. C’est donc sur la base de la Golf 2 GTI que le département Motorsport du constructeur de Wolfsburg va développer une version spéciale routière, limitée à 5 000 exemplaires, pour être homologué en Championnat ...
Guide des Sportives
Guide des Sportives vous permet de retrouvez toutes vos voitures de sport préférées classées par marque, modèle, gamme, génération après génération. Ferrari, Porsche, Lamborghini, Aston Martin et autres constructeurs de voitures de sport et de voitures de prestige (Lotus, BMW, Mercedes-Benz, Audi), aux sportives plus populaires comme les GTI et petites sportives (Peugeot 205 GTI, R8 Gordini, VW Golf GTI…), le Guide des Sportives recense toutes les automobiles considérées et choisies par la rédaction comme voitures sportives. Chaque auto est traitée de la même manière avec un descriptif, des informations techniques et des conseils d’achat. De 1945 à nos jours, Guide des Sportives est alimenté chaque semaine de nouveaux dossiers.
La rédaction