Maserati Quattroporte Mk4 Evoluzione V8 3L2 Biturbo
1998 – 8 cyl. en V 32V Biturbo
335 ch – 270 km/h
1 647 kg
Maserati Quattroporte Mk4 Evoluzione V8 3L2 Biturbo
1998 – 8 cyl. en V 32V Biturbo
335 ch – 270 km/h
1 647 kg
Maserati célèbre la Bora, la première voiture routière à moteur arrière central de l’histoire de la Marque, tout comme la MC20 est le premier véhicule à moteur arrière central de la nouvelle ère. Le vent de la Maserati Bora traverse 50 ans d’histoire et marque l’aube d’une nouvelle phase pour la Marque : tous les nouveaux modèles partagent l’exclusivité, la sportivité et l’unicité qui ont toujours caractérisé le constructeur modénais, et la Bora a également transmis sa position de moteur, introduite pour la première fois sur la Tipo 63 (1961), reprise initialement sur la MC12, et maintenant une caractéristique clé de la nouvelle MC20. Lire la suite
Maserati Spyder 4200 V8
2001 – 8 cyl. en V 32V
390 ch – 285 km/h
1 730 kg
La Maserati Coupé avait redonné des couleurs au Trident. En réalité, c’est la Maserati 3200 GT, dessinée par Giugiaro qui dès 1998 avait soufflé un vent nouveau apportant rigueur, modernité et glamour élégant. Depuis, Ferrari a pris le pouvoir pleinement partageant son savoir-faire technologique (moteur V8 et boîte Cambiocorsa appelée F1 à Maranello) pour que Maserati soit sur de bons rails. En mars 2007, Maserati dévoile au salon de Genève la remplaçante : la Maserati GranTurismo (Tipo M145). Tout est inédit, à commencer par ses dimensions accrues pour une habitabilité supérieure (merci la plateforme de la Maserati Quattroporte Mk5), mais également le style qui est dû à Pininfarina et non plus Giugiaro. Plus grande, plus grosse, plus habitable, c’est désormais un coupé quatre places plus qu’un coupé 2+2, qui est ainsi plus polyvalent à l’usage au quotidien. Une concession au sport qui surprend les fans du coupé précédent. Néanmoins, que chacun se rassure, c’est toujours un volubile V8 d’origine Ferrari qui est sous le capot avant. Ouf !…
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Le prix très attendu de la « Voiture chinoise de l’année 2021 » a été officiellement annoncé hier à Guangzhou. Suivis de près par les initiés de l’industrie et les consommateurs, ces prix visent à promouvoir l’amélioration continue de l’industrie et du marché automobile chinois. Les prix de la Voiture chinoise de l’année 2021 ont été sélectionnés par un jury composé de 41 juges faisant autorité dans les médias automobiles. Sur la base des performances globales et du marché, ainsi que d’autres facteurs clés des modèles candidats, la super voiture de sport Maserati MC20 a été désignée comme la voiture chinoise de performance de l’année 2021.
Développée par le Maserati Innovation Lab et produite dans l’usine historique de Modène, la MC20 est fabriquée à 100 % en Italie. Son superbe look cache une âme sportive sans compromis, avec le nouveau moteur V6 Nettuno de 630 chevaux qui permet une accélération de 0 à 100 km/h en moins de 2,9 secondes et une vitesse de pointe supérieure à 325 km/h. Ce moteur breveté a été développé, conçu et construit entièrement en interne et utilise une technologie de préchambre dérivée des moteurs de Formule 1.
Avec la nouvelle super voiture de sport MC20, la marque Trident a officiellement ouvert une nouvelle ère.
Ras le bol des Porsche 911 ou des Golf GTI ? Vous n’êtes plus décidé à payer des voitures de sport au prix fort, en raison d’une forte demande et d’une cote toujours plus soutenue ? Bonne nouvelle, vous êtes au bon endroit ! La Rédaction du Guide des Sportives vous propose de balayer ensemble les automobiles sportives injustement oubliées mais qui méritent amplement le détour. Souvent au fond des sélections des petites annonces, il n’est pas toujours évident de trouver des modèles en bon état, de pouvoir assurer l’entretien et de les revendre. Et pour cause, car souvent leur carrière commerciale a oscillé entre demi-teinte ou échec total. Et elle n’ont pas profité d’une version locomotive ou en compétition, à l’instar de la Lancia Delta HF Integrale, pour rejaillir sur un succès commercial. Alors pour vous faire plaisir sans vous ruiner, suivez le Guide des Sportives…
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Maserati GB accueille le début de la nouvelle année avec l’introduction de l’édition spéciale Sportivo, hautement spécifiée et désirable, disponible sur les modèles Levante SUV et Ghibli saloon de la marque iconique. Désormais disponible dans les concessions Maserati du Royaume-Uni, le Sportivo Special Edition se décline en deux variantes distinctes et très bien équipées, « Sportivo » et « Sportivo X ». Alors que les deux versions offrent aux clients une foule de caractéristiques supplémentaires, la Sportivo X va encore plus loin pour créer quelque chose de vraiment désirable. Lire la suite
Maserati Khasmin
1974 – 8 cyl. en V 16V
320 ch – 275 km/h
1 700 kg
Le 6 novembre 1955, la Maserati Tipo 300S, avec Juan Manuel Fangio au volant, a été la première à prendre le drapeau à damiers au GP du Venezuela, marquant le début de deux années de grands succès qui ont renforcé la réputation de la marque Trident au niveau international.
Aujourd’hui, Maserati commémore cette importante victoire pour souligner son lien étroit avec le monde de la course automobile. En fait, Maserati est née sur la piste, d’un ensemble unique d’ADN de la course, et de l’audace, d’abord des frères Maserati, puis de ses pilotes. Une tradition et une histoire de victoires sur les routes et les circuits du monde entier, où les victoires du Trident ont fait de lui le porte-drapeau de l’excellence italienne.
La course a toujours été l’habitat naturel de Maserati : c’est en compétition que son mythe a commencé à émerger, et même maintenant, avec sa nouvelle ère, la marque part de ses racines pour construire son avenir. La nouvelle supercar MC20 marquera le retour de Maserati dans le monde des courses.
Maserati Tipo 300S
La Tipo 300S a été créée en 1955 comme une évolution de la monoplace 250S, et elle a été le symbole de Maserati dans les courses internationales jusqu’en 1959. Dès 1954, avec le développement du prototype 250S équipé d’un moteur de 2,5 litres de 230 ch dérivé de l’unité montée dans la 250F utilisée en F1, l’équipe technique de Maserati a commencé à travailler à l’augmentation de la cylindrée et de la puissance. Le résultat a été l’unité à six cylindres en ligne de 3,0 litres, plus puissante et plus performante, mais avec moins de contraintes mécaniques en raison du taux de compression plus faible et d’un régime rassurant, malgré la vitesse plus élevée du piston.
Le reste de l’architecture et des détails du moteur sont identiques à ceux du moteur à six cylindres en ligne de 2,5 litres, y compris les deux arbres à cames en tête et le double allumage : les concepts de construction du Grand Prix ont été transférés à une voiture de sport et, à l’avenir, la même mécanique sera également adoptée pour la production standard. Du point de vue de l’ingénierie, la 300S était un véritable chef-d’œuvre : les sièges des soupapes de grand diamètre et les évidements des deux bougies d’allumage du double allumage sont clairement visibles dans la chambre de combustion hémisphérique du moteur. Les suspensions avant étaient composées de doubles triangles et d’un ressort hélicoïdal avec amortisseur télescopique coaxial.
Enfin, le tambour de frein était un véritable travail d’ingéniosité : la pièce moulée en alliage léger était dotée d’ailettes radiales et de trous pour la dispersion de la chaleur. Le châssis a également été modifié pour répondre aux contraintes plus importantes dues à l’augmentation du poids, avec un treillis de tubes ovales et ronds.
La configuration extérieure, avec une carrosserie de Fantuzzi et des lignes de voitures de sport, était solide mais aux proportions attrayantes. La grande prise d’air avant portait le traditionnel trident encadré par des profils en aluminium, et le siège du conducteur était protégé par un petit pare-brise. Des aérations à ailettes étaient disposées sur les côtés pour empêcher l’air de stagner dans le compartiment moteur. Des tuyaux d’échappement doubles descendaient en bas du côté gauche, se terminant près de la roue arrière. Enfin, la queue était plus volumineuse car elle dissimulait le réservoir de carburant de 150 litres, le réservoir d’huile latéral de 20 kg et la roue de secours.
Au milieu des années 1950, de nouvelles théories de l’aérodynamique ont été élaborées, et la carrosserie de la 300S a donc subi une série d’améliorations de style au cours de sa vie pour accroître son efficacité.
Si l’on se penche sur sa carrière de course, la 300S a immédiatement révélé ses prouesses en compétition lors de ses premiers événements en 1955, et ses succès sur piste ont été confirmés par le grand nombre de commandes passées par les équipes de course et les gentlemen drivers.
Giulio Alfieri a introduit une série d’améliorations expérimentales de la voiture pour la rendre de plus en plus compétitive – comme l’injection de carburant – et elle a connu un grand succès dans les courses italiennes et internationales, devenant pendant deux saisons la meilleure voiture de la marque dans les événements de la catégorie sportive. En 1955, la Tipo 300S a remporté le GP du Venezuela avec Juan Manuel Fangio au volant, mais 1956 a été l’année de ses plus grands triomphes, et quand elle a manqué de peu de remporter le championnat du monde des voitures de sport. La fiabilité de son moteur et la parfaite réponse de son châssis ont été les deux principales caractéristiques qui ont permis à la Tipo 300S d’obtenir un succès bien mérité.
En 1956, Stirling Moss et Carlos Menditeguy ont remporté les 1 000 km de Buenos Aires avec la Tipo 300S. Pietro Taruffi a remporté le Giro di Sicilia (1er de la catégorie des moins de 3 000 cc) et la Targa Florio (1er de la catégorie des moins de 2 000 cc), Jean Behra les courses sur le circuit de Bari et Castelfusano, et Franco Bordini les cinq heures de Messine. La même année, la voiture a remporté le succès au 1 000 km du Nürburgring, avec Stirling Moss, Jean Behra, Pietro Taruffi et Harry Schell au volant à tour de rôle.
La nouvelle 450S, plus puissante, a été lancée en 1957, mais la 300S est restée en production jusqu’en 1959.
Le nombre total de voitures Tipo 300S construites de 1955 à 1959 était de 27.
Maserati Coupé GT
Maserati 3200 GT Biturbo
Après des heures incertaines, et un passé tumultueux, Maserati semble enfin avoir trouvé la sérénité sous la protection du cheval cabré. Fiat a en effet regroupé sous un même pole Maserati et Ferrari. Un premier travail avait été réalisé sur la fiabilisation et optimisation des gammes alors existantes (Quattroporte, Ghibli) pour rassurer les clients et en attirer de nouveaux. Dès 1998, la présentation de la Maserati 3200 GT donne le nouveau tempo de la marque. Un nouveau départ, qui conserve encore un patrimoine génétique de la firme au trident sous la forme du bouillant V6 3,2 litres biturbo. L’ère de Tomaso a donc encore une descendance de haute volée avec un sacré caractère et du charisme à revendre. Et pour donner corps à cette nouveau chapitre de la firme de Modene, c’est Ital Design (Giorgetto Giugiaro) qui réalise un design moderne et sans faute. Du glamour sportif et luxueux qui remet Maserati sur le devant de la scène. L’aventure continue…
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