Maserati Quattroporte Mk1 4L2 AM107
1963 – 8 cyl. en V 16V
260 ch – 230 km/h
1 700 kg
Maserati Quattroporte Mk1 4L2 AM107
1963 – 8 cyl. en V 16V
260 ch – 230 km/h
1 700 kg
L’une des icônes de la marque est de retour : Maserati présente la nouvelle GranTurismo, marquant un nouveau chapitre dans une histoire qui a commencé il y a 75 ans avec la Maserati A6 1500. Le coupé GranTurismo combine les hautes performances typiques d’une voiture de sport avec un confort adapté aux longues distances, aussi bien dans la version avec un puissant moteur à combustion interne que dans les solutions 100% électriques les plus innovantes. Il représente une référence, incarnant le concept « Les autres ne font que voyager ». Ce modèle fait avancer la Maison du Trident vers l’avenir : c’est la première voiture de l’histoire de la marque à adopter une chaîne cinématique 100% électrique. Lire la suite
Une voiture de rêve, un modèle extrême, futuriste, presque irrationnel, définitivement beau, capable de rester gravé dans la mémoire de chaque fan : un demi-siècle s’est écoulé depuis le 9 mars 1972, date à laquelle la Maserati Boomerang a fait ses débuts au Salon de l’automobile de Genève. Il s’agissait d’un concept créé par la main renommée de Giorgetto Giugiaro et produit par Italdesign.
Maserati Boomerang – dont une maquette fait une apparition fugace au Salon de l’automobile de Turin 1971 : un seul modèle a été réalisé, qui sera présenté au Salon suisse de 1972 comme un véhicule immatriculé et fonctionnant parfaitement. La base utilisée par Italdesign (châssis et mécanique complète) est une Maserati Bora, avec un moteur central à huit cylindres arrière disposés à 90° qui développe 4 719 cm3. Il pouvait libérer 310 ch, ce qui lui permettait d’atteindre une vitesse de pointe de près de 300 km/h. La propulsion arrière était assurée par une boîte de vitesses à cinq rapports. Lire la suite
Le 6 octobre 1966 a vu l’ouverture de la 53e édition du « Mondial de l’automobile de Paris », où la nouvelle Maserati Mexico – considérée comme l’une des meilleures voitures GT italiennes de tous les temps – a fait ses débuts.
La Mexico, dessinée par Vignale, était une voiture exquise aux lignes épurées et immaculées : c’était un élégant coupé 2+2 dans le pur style Maserati, mais avec un cœur puissant et sportif. En effet, sous son capot, elle dissimulait la version routière du moteur de course dérivé de la 450 S.
C’était le troisième modèle Maserati à utiliser cette unité de propulsion, après la Quattroporte et la 5000 GT.
Parmi les hypothèses sur la façon dont cette voiture a été baptisée du nom du pays d’Amérique centrale, on dit qu’un important client mexicain avait acheté une 5000 GT Allemano qui avait appartenu au président mexicain Adolfo López Mateos en 1961, et l’avait amenée à Modène pour la faire réparer après un accident. Lors d’une visite de l’usine historique Viale Ciro Menotti, le client a apparemment été si impressionné par le prototype conçu par Vignale qu’il a absolument insisté pour l’acheter, au point que la carrosserie a été transférée sur le châssis de sa 5000 GT. Cette série de coïncidences serait à l’origine du choix du nom « Mexico » pour le futur modèle.
Dès son lancement, la voiture était équipée d’un V8 4,2 L de 260 CV et d’une vitesse maximale de 240 km/h et d’un V8 4,7 L de 290 CV, capable de la propulser à une vitesse maximale de 255 km/h.
La Maserati Mexico impressionne tant par son style que par son équipement, qui comprend – de série – des sièges en cuir, des vitres électriques, un tableau de bord en bois, la climatisation et des freins à disque ventilés servo-assistés à l’avant. La transmission automatique, la direction assistée et la radio étaient disponibles en option. L’intérieur était décrit comme « un salon à l’italienne », exprimant l’identité italienne et le savoir-faire de Maserati.
Aujourd’hui, tout comme il y a 55 ans, Maserati continue de construire des voitures emblématiques qui façonnent l’histoire de l’automobile et établissent des références dans le segment du luxe. La Mexico représentait l’excellence, le design et la puissance, des valeurs que l’on retrouve encore dans tous les modèles Trident.
Maserati et Hiroshi Fujiwara, le parrain japonais de la culture de la rue, s’associent pour un partenariat qui traverse les frontières géographiques et disciplinaires vers les territoires inexplorés de l’audace, dans un royaume au-delà duquel la musique s’incarne sous la forme d’une voiture et où la transgression des règles est autorisée. Née de cette collaboration et présentée en première mondiale exclusive à Tokyo, une œuvre d’art sous forme de duo mélodique, Operanera et Operabianca, deux évocations contrastées d’une édition spéciale de la Maserati Ghibli. Lire la suite
Le 28 mai, Maserati célèbre un anniversaire important : il y a exactement 60 ans, la Tipo 61 remportait une victoire éclatante lors de la septième édition des 1 000 kilomètres du Nürburgring, la grande classique d’endurance organisée sur la Nordschleife en Allemagne, qui a atteint l’apogée de sa splendeur et de sa popularité ces années-là. Avec ce succès, la Maserati Tipo 61 pilotée par Masten Gregory et Lloyd Casner réalise un mémorable doublé, en s’imposant à nouveau un an seulement après la victoire obtenue en 1960, avec Stirling Moss au volant et Dan Gurney. Lire la suite
Maserati Quattroporte Mk4 Evoluzione V8 3L2 Biturbo
1998 – 8 cyl. en V 32V Biturbo
335 ch – 270 km/h
1 647 kg
Maserati célèbre la Bora, la première voiture routière à moteur arrière central de l’histoire de la Marque, tout comme la MC20 est le premier véhicule à moteur arrière central de la nouvelle ère. Le vent de la Maserati Bora traverse 50 ans d’histoire et marque l’aube d’une nouvelle phase pour la Marque : tous les nouveaux modèles partagent l’exclusivité, la sportivité et l’unicité qui ont toujours caractérisé le constructeur modénais, et la Bora a également transmis sa position de moteur, introduite pour la première fois sur la Tipo 63 (1961), reprise initialement sur la MC12, et maintenant une caractéristique clé de la nouvelle MC20. Lire la suite
Maserati Spyder 4200 V8
2001 – 8 cyl. en V 32V
390 ch – 285 km/h
1 730 kg
La Maserati Coupé avait redonné des couleurs au Trident. En réalité, c’est la Maserati 3200 GT, dessinée par Giugiaro qui dès 1998 avait soufflé un vent nouveau apportant rigueur, modernité et glamour élégant. Depuis, Ferrari a pris le pouvoir pleinement partageant son savoir-faire technologique (moteur V8 et boîte Cambiocorsa appelée F1 à Maranello) pour que Maserati soit sur de bons rails. En mars 2007, Maserati dévoile au salon de Genève la remplaçante : la Maserati GranTurismo (Tipo M145). Tout est inédit, à commencer par ses dimensions accrues pour une habitabilité supérieure (merci la plateforme de la Maserati Quattroporte Mk5), mais également le style qui est dû à Pininfarina et non plus Giugiaro. Plus grande, plus grosse, plus habitable, c’est désormais un coupé quatre places plus qu’un coupé 2+2, qui est ainsi plus polyvalent à l’usage au quotidien. Une concession au sport qui surprend les fans du coupé précédent. Néanmoins, que chacun se rassure, c’est toujours un volubile V8 d’origine Ferrari qui est sous le capot avant. Ouf !…
Lire la suite