GP F1 Mexico 2022 – 30 octobre

GP F1 Mexico 2022
1. VERSTAPPEN (Red Bull)
2. HAMILTON (Mercedes)
3. PEREZ (Red Bull)

Retour à Mexico, Grand Prix qui jusqu’ici n’a connu que des vainqueurs différents dans sa version moderne. Mais jamais Sergio Perez le local de l’étape n’est parvenu à gagner « son » grand prix. Est-ce que l’insatiable Verstappen sera plus clément et partager à Mexico ? Rien n’est moins sûr, car si les Mercedes semblent les plus rapides, et la Red Bull rétive dans les enchaînements lents avec beaucoup de sous-virage, le pilote hollandais réussi pourtant l’exploit d’arracher la pole position à George Russel. Ils partageront ainsi la première ligne. Hamilton est 3e, avec Perez à ses côtés. Les deux Ferrari se partagent la 3e et 4e ligne, leur baisse de forme tout au long de la saison semble plus évident désormais et se fait cruellement sentir. Dans les sacrifiés de la qualifications, les deux Williams, les deux Aston et Sebastian Vettel qui sortait pourtant d’un beau GP des USA la semaine passée, ne passent pas le « cut » de la Q1. Dans la bataille constructeur de la 4e place entre Alpine et McLaren, les deux bleus s’intercalent sur la grille entre les deux orange. Grosse surprise en revanche de Bottas et son Alfa-Romeo très fringants qui se qualifie à 6e place entre les deux Ferrari. Lire la suite

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Maserati revient sur les 55 ans de la Maserati Mexico

Le 6 octobre 1966 a vu l’ouverture de la 53e édition du « Mondial de l’automobile de Paris », où la nouvelle Maserati Mexico – considérée comme l’une des meilleures voitures GT italiennes de tous les temps – a fait ses débuts.

La Mexico, dessinée par Vignale, était une voiture exquise aux lignes épurées et immaculées : c’était un élégant coupé 2+2 dans le pur style Maserati, mais avec un cœur puissant et sportif. En effet, sous son capot, elle dissimulait la version routière du moteur de course dérivé de la 450 S.
C’était le troisième modèle Maserati à utiliser cette unité de propulsion, après la Quattroporte et la 5000 GT.

Parmi les hypothèses sur la façon dont cette voiture a été baptisée du nom du pays d’Amérique centrale, on dit qu’un important client mexicain avait acheté une 5000 GT Allemano qui avait appartenu au président mexicain Adolfo López Mateos en 1961, et l’avait amenée à Modène pour la faire réparer après un accident. Lors d’une visite de l’usine historique Viale Ciro Menotti, le client a apparemment été si impressionné par le prototype conçu par Vignale qu’il a absolument insisté pour l’acheter, au point que la carrosserie a été transférée sur le châssis de sa 5000 GT. Cette série de coïncidences serait à l’origine du choix du nom « Mexico » pour le futur modèle.

Dès son lancement, la voiture était équipée d’un V8 4,2 L de 260 CV et d’une vitesse maximale de 240 km/h et d’un V8 4,7 L de 290 CV, capable de la propulser à une vitesse maximale de 255 km/h.

La Maserati Mexico impressionne tant par son style que par son équipement, qui comprend – de série – des sièges en cuir, des vitres électriques, un tableau de bord en bois, la climatisation et des freins à disque ventilés servo-assistés à l’avant. La transmission automatique, la direction assistée et la radio étaient disponibles en option. L’intérieur était décrit comme « un salon à l’italienne », exprimant l’identité italienne et le savoir-faire de Maserati.

Aujourd’hui, tout comme il y a 55 ans, Maserati continue de construire des voitures emblématiques qui façonnent l’histoire de l’automobile et établissent des références dans le segment du luxe. La Mexico représentait l’excellence, le design et la puissance, des valeurs que l’on retrouve encore dans tous les modèles Trident.

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GP F1 Mexico – Mexique 2019 – 27 Octobre

GP F1 Mexico - Mexique 2019

GP F1 Mexico – Mexique 2019
1. HAMILTON (Mercedes)
2. VETTEL (Ferrari)
3. BOTTAS (Mercedes)

Week-End particulier avec une météo changeante, notamment côté températures. Résultat, c’est le casse-tête mexicain (et non chinois !) pour définir la bonne stratégie pneumatiques. A l’entame des qualifications, il semble acquis que les écuries en difficultés sont encore et toujours Williams, mais également Haas et Alfa Romeo. Ces deux dernières écuries, depuis plusieurs Grand Prix, marquent le pas tant en qualifications qu’en course. D’ailleurs aucune ne parviendra à s’extraire de la Q1 pour Haas, et Q2 pour Alfa Romeo. Quoique surmotivé puisque pilotant à domicile, Sergio Perez, tout comme son co-équipier ne passeront pas respectivement la Q2 et la Q1. Les deux Renault, pénalisées lors du Grand Prix du Japon à postériori restent également abonnées à la Q2, au grand désespoir de Ricciardo qui ne cache pas sa frustration. Heureusement sa course sera tout autre… En Q3, les ténors montent les puissances, et contre toute attente, les Red Bull font des sacrés chronos, malgré la longue (longue) ligne droite. Qui a dit que le Honda n’avait pas de puissance ?! Finalement, la pole semblait acquise à Verstappen véritablement plus rapide que les autres. Mais Bottas se plante dans le dernier tour des qualifications entraînant un drapeau jaune. Verstappen le voit mais continue son effort et ne décolère pas. Malgré son meilleur temps, il va être déclassé et relégué sur la 2e ligne (recul de 3 places) à côté d’Hamilton qui est 4e. Voilà donc Charles Leclerc qui hérite de la pole malgré lui. C’est sa 7e pole position cette année, étant ainsi « LE » poleman de la saison 2019. Vettel 2e est à ses côtés. Bottas est relégué sur la 3e ligne aux côtés d’Albon. Les deux McLaren sont ensemble sur la 5e ligne, et les deux Toro Rosso sur la 6e ligne. Lire la suite

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GP F1 Mexico 2018 – 28 Octobre

GP F1 Mexico – Mexique (2018)
1. VERSTAPPEN (Red Bull)
2. VETTEL (Ferrari)
3. RAIKKONEN (Ferrari)

Bien que rien n’est encore définitif, il parait peu probable qu’à l’issue du GP du Mexique Hamilton ne soit pas titré champion du monde de F1 2018 (son 5e titre) puisqu’il doit au pire finir 7e si Vettel gagne pour être champion. C’est dire, à moins d’un abandon en course… Mexico est particulier comme circuit car en hauteur (plus de 2 200 mètres d’altitude) et pas sans conséquences sur le fonctionnement des Formule 1. D’emblée dans les essais libres et les qualifications, les Red Bull démontrent une sacrée santé grâce à des appuis aérodynamiques soignés et un châssis très efficace. Véritable circuit qui pénalise les autos rigides, la Q1 fait donc des victimes avec les deux Williams et les deux Haas qui s’arrêtent là, tout comme Vandoorne et sa McLaren. En Q2, les deux Toro Rosso (avec Gasly qui ne tourne pas puisque partant déclassé avec ses changements de composants), les deux Racing Point Force India et la dernière McLaren d’Alonso ne poursuivront pas les qualifications. En Q3 donc, on retrouve avec surprise les deux Sauber décidément en constante progression. Néanmoins elles vont jouer le fond de grille des 10 meilleurs de la Q3, précédées des deux Renault. Un classement sans surprise qui laisse donc les 3 écuries de pointe (Mercedes, Ferrari et Red Bull) se disputer la première ligne. Mais à Mexico, c’est entre Verstappen et Ricciardo que cela va se jouer. Et si le hollandais a dominé tout le temps, c’est ce diable d’australien qui va lui souffler la pole position au grand dam de ses patron, Helmut Marko en tête. Derrière, c’est le respect des rangs des pilotes avec Hamilton et Vettel en deuxième ligne et Bottas et Raikkonen en 3e ligne. Lire la suite

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GP F1 Mexico 2017 – 29 Octobre

GP F1 Mexico (2017)
1. VERSTAPPEN (Red Bull)
2. BOTTAS (Mercedes)
3. RAIKKONEN (Ferrari)

A Mexico, la fièvre de la F1 bat son plein. Et depuis la mise en scène de la fête des morts dans le film Spectre (James Bond), tout le Mexique a repris le principe des déguisements de squelettes et têtes de mort. Du coup, le GP est parsemé de personnes déguisées, public ou organisateur. Sympa ! Et le Stadium reste un monument d’anthologie qui accueille le passage des monoplaces en fin de chaque tour dans une ambiance caliente ! Malheureux tous les essais libres et même en Q1, Pierre Gasly sur sa Toro Rosso va très peu tourner en raison de problèmes techniques à répétition. Résultat, il ne prendra pas part aux qualifications. Les quatre autres recalés de la Q1 sont les deux Sauber et les deux Haas, avec les deux Sauber qui sont devant ! Les premiers résultats de la méthode Vasseur ? En Q2, les deux McLaren restent aux stands en raison des pénalités pour changements d’éléments. Dommage, car Alonso avait signé le 5e temps en Q1 ! Hartley sur l’autre Toro Rosso n’aura pas non plus de chrono en Q2. Ce sont les deux Williams qui échouent ainsi à la porte de la Q1. Dans le dernier top 10, Verstappen mène les débats et se permet de coller près d’une seconde à son coéquipier. Et si on a cru un instant que la pole échouerait au jeune pilote hollandais, c’est finalement un Vettel survolté par l’enjeu avec une Ferrari réglée comme il le faut qui hérite de la pole position. Les deux Mercedes sont reléguées sur la deuxième ligne. Ocon est 6e alors que Perez 10e ferme la Q1 devant son public. Les deux Renault restent ensemble avec devant Ricciardo aux côtés de Ocon. Lire la suite

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Felipe Massa et Jaguar dans Spectre

jaguar-c-x75-a-4La supercar C-X75 de Jaguar qui apparaît dans le dernier James Bond, SPECTRE, a fait ses débuts américains à Mexico aujourd’hui avec Felipe Massa, pilote de Williams Martini Racing, à son volant. Cette activité marque la première américaine du film qui aura lieu à Mexico le 2 novembre, ainsi que le Grand Prix de Formule 1 du Lire la suite

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