Dino 246 GT
1969 – 6 cyl. en V 12V
195 ch – 230 km/h
1 080 kg
Dino 246 GT
1969 – 6 cyl. en V 12V
195 ch – 230 km/h
1 080 kg
La voiture de série qui accélère le plus rapidement au monde a battu une série de records de vitesse sur le site d’essai indien de Natrax en février. La voiture purement électrique Battista d’Automobili Pininfarina s’est imposée comme la plus rapide au monde à effectuer les sprints de ¼ mile et ½ mile, s’adjugeant ainsi le titre de voiture homologuée pour la route la plus rapide jamais réalisée sur le sol indien.
Avec les systèmes de données VBOX en place pour vérifier l’incroyable performance de Battista, le temps de ¼ mile de 8,55 secondes et le résultat de ½ mile de 13,38 secondes ont été les points forts d’une série de résultats remarquables pour la première voiture électrique de luxe d’Automobili Pininfarina. Hormazd Sorabjee et Renuka Kirpalani d’Autocar India ont rejoint l’équipe de performance, d’essai et de validation de la marque italienne, y compris le pilote de développement Stefano Costa, lors de l’événement, l’objectif étant de mettre en évidence les performances exceptionnelles accessibles à tous les propriétaires et conducteurs de Battista. Lire la suite
Lancia Montecarlo Serie 2
1980 – 4 cyl. en ligne 8V
120 ch – 195 km/h
970 kg
Lancia Beta Montecarlo Serie 1
1975 – 4 cyl. en ligne 8V
120 ch – 190 km/h
1 040 kg
Lancia Rally 037 Stradale
1982 – 4 cyl. en ligne 16V Compresseur
205 ch – 220 km/h
1 170 kg
Alors que la Battista, hyper GT purement électrique, approche de sa phase finale de développement et de sa livraison aux clients au début de l’année 2022, Nick Heidfeld, pilote de course vénéré et pilote d’essai et de développement d’Automobili Pininfarina, a profité de l’occasion pour évaluer la voiture de sport italienne la plus puissante jamais créée, sur route et sur piste, près du centre d’ingénierie et d’exploitation de la société, dans le nord de l’Italie. Lire la suite
Etonnante genèse du Coupé Fiat ! C’est en effet sous l’impulsion d’un Pininfarina en mauvaise posture avec le retrait de General Motors suite à l’échec commercial de la Cadillac Allante, que Fiat va lancer la conception et le développement d’un nouveau coupé sportif. Pininfarina qui a désormais une usine sur les bras sans activité propose en effet à Fiat de renouer avec les coupés de caractère comme dans les années 70 (Fiat 124 Coupé, Fiat 128 coupé sport…) et se fait fort d’assurer le design et la fabrication. Mais Roberto Testore alors patron de Fiat veut de la compétition pour le style et met Pininfarina et le Centro de Style Fiat en concurrence. C’est finalement la proposition osée et pour le moins tranchée et clivante du jeune Chris Bangle du Centro de Style Fiat qui va remporter les suffrages pour le design extérieur, Pininfarina devant se contenter de l’habitacle et de la fabrication dans son usine de San Giorgio Cavanese (Turin). La plateforme est celle de la Fiat Tipo (qui sera mise à toutes les sauces !), faisant ainsi du coupé Fiat une traction avant, avec moteur avant. Chris Bangle a opté pour un style frappant, s’inspirant du passé pour différents détails (petits feux arrière ronds, bouchon d’essence type aviation comme sur une Ferrari 250 GTO), et lacérant les flancs pour dynamiser la ligne. Les lobes des phares avant épousent les lentilles en formant une vague, tandis que le Coupé Fiat adopte un long museau au porte-à-faux prononcé. Le résultat n’est ni laid ni beau, il est avant tout clivant et divise l’opinion. On adore ou on déteste, selon ses goûts. L’essentiel semble atteint, puisque Roberto Testore veut justement bousculer l’image de Fiat avec ce type de véhicules passion. La production démarre fin 1993, et la Fiat Coupe est présentée en première au public lors du salon de Bruxelles en fin d’année.
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La Maserati Coupé avait redonné des couleurs au Trident. En réalité, c’est la Maserati 3200 GT, dessinée par Giugiaro qui dès 1998 avait soufflé un vent nouveau apportant rigueur, modernité et glamour élégant. Depuis, Ferrari a pris le pouvoir pleinement partageant son savoir-faire technologique (moteur V8 et boîte Cambiocorsa appelée F1 à Maranello) pour que Maserati soit sur de bons rails. En mars 2007, Maserati dévoile au salon de Genève la remplaçante : la Maserati GranTurismo (Tipo M145). Tout est inédit, à commencer par ses dimensions accrues pour une habitabilité supérieure (merci la plateforme de la Maserati Quattroporte Mk5), mais également le style qui est dû à Pininfarina et non plus Giugiaro. Plus grande, plus grosse, plus habitable, c’est désormais un coupé quatre places plus qu’un coupé 2+2, qui est ainsi plus polyvalent à l’usage au quotidien. Une concession au sport qui surprend les fans du coupé précédent. Néanmoins, que chacun se rassure, c’est toujours un volubile V8 d’origine Ferrari qui est sous le capot avant. Ouf !…
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Automobili Pininfarina a dévoilé l’expression ultime de la première hyper GT de luxe purement électrique au monde, la Battista Anniversario. La Battista Anniversario célèbre le 90e anniversaire de la création par Battista « Pinin » Farina du légendaire carrossier et bureau d’études Pininfarina. Il s’agit de la voiture de sport la plus puissante jamais conçue et construite en Italie. Lire la suite
C’est pour homologuer le V6 Dino de sa Formule 2 que Ferrari et Fiat vont s’associer pour garantir une production minimale de 500 exemplaires.
Enzo Ferrari ne manque pas d’aplomb lorsqu’il s’agit de forcer la main des instances sportives. La précédente Ferrari 250 GTO avait été déjà un cas d’école dont le « Commendatore » avait alors le secret. Pour sa Formule 2 en gestation, la règlementation prévoit que le V6 doit être produit et mis sous le capot de 500 véhicules de série minimum. Pari impossible pour Maranello ? Pas tant que ça puisque Fiat et son ambition patron, Giovanni Agnelli, accepte de s’associer sur ce
V6 raffiné techniquement et tout alu, il est coiffé de deux doubles arbres à cames en tête par rangée de cylindre. Il développe 160 ch pour les Fiat Dino Spider et Coupé dès 1967.
projet avec Ferrari. Maranello conçoit le V6 concerné par l’homologation, et Fiat va le produire. Chez Ferrari, avec sa marque créée en 1965 rendant hommage au regretté fils emporté par la maladie en 1956, Enzo Ferrari va élargir son offre vers le bas sans risque d’écorner l’image du cheval cabré. Ainsi la Dino 208 GT est la première « Ferrari » à moteur central arrière, et donnant un accès à la production de Maranello plus « démocratique ». Chez Fiat, ce sont deux véhicules qui sont en gestation : un coupé et un spider. Une belle opportunité pour Fiat d’étendre sa gamme vers le haut et venir concurrencer Mercedes-Benz et BMW sur leur terrain. Un pari qui semble un peu fou dans une gamme qui démarre vers le bas avec la petite Fiat 500.
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