Subaru Impreza Mk2 WRX STi (GD)

Subaru Impreza Mk2 WRX STi GD

Subaru Impreza Mk2 WRX STi (GD)
2001 – 4 cyl. à plat 16V Turbo
265 ch – 238 km/h
1 450 kg

En août 2000, Subaru a revu sa copie et attaque la 2e génération d’Impreza. Elle arrive déjà auréolée des succès en rallyes de la première génération. Les attentes des fans sont fortes et les premières photos déroutent, notamment par la proue et ses drôles de phares ronds alors que la carrosserie en générale est plutôt carrée. Passé cette première surprise, une deuxième (mauvaise) surprise attend les amateurs de Subaru Impreza, puisque la variante sportive, l’Impreza Mk2 WRX, régresse en performances pures par rapport à l’Impreza Mk1 GT. Son moteur demeure en effet inchangé avec ses 218 ch mais doit entraîner un poids supérieur. Mais à Ôta Gunma, nos amis japonais ont plusieurs atouts dans leur manche, notamment avec le label STi (Subaru Tecnica International), la branche sportive de Subaru qui développe les modèles de compétition, mais également les modèles routiers à hautes performances. Partant de la version WRX, Subaru commercialise ainsi dès 2001 l’Impreza Mk2 WRX STi (GD). Les modifications apportées touchent essentiellement le groupe motopropulseur et les trains roulants pour une efficacité accrue et des performances supérieures. Côté esthétique, Subaru améliore l’ordinaire avec une Lire la suite

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Subaru Impreza Mk2 WRX STi Prodrive Style

Subaru Impreza Mk2 WRX STi Prodrive Style

Subaru Impreza Mk2 WRX STi Prodrive Style
2001 – 4 cyl. à plat 16V Turbo
265 ch – 238 km/h
1 450 kg

La Subaru Impreza Mk2 WRX STi est arrivée à point nommé en 2001 pour assurer et rassurer ses afficionados. Plus puissante, plus performante et avec sa transmission intégrale plus évoluée, l’Impreza Mk2 lève les doutes que la « simple » WRX avait initiés. Et la partie amortissement plus ferme, complété de gros freins complètent la panoplie. Et côté look, les jantes dorées et un masque avant revu permettent de distinguer au premier coup d’œil la véritable héritière de la Subaru Impreza GT Turbo Mk1. Mais pour ceux qui trouve cela encore trop discret, Subaru commercialise de concert un pack « Prodrive Style » qui comprend un nouvel aileron « maousse », digne Lire la suite

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Fiat Uno Turbo ie Phase 2

Fiat Uno Turbo ie Phase 2

Fiat Uno Turbo ie Phase 2
1989 – 4 cyl. en ligne 8V Turbo
118 ch – 204 km/h
925 kg

Si la Fiat Uno connaît un succès commercial européen et même sur d’autres continents qui ne se dément pas depuis 1983 date de son lancement, on ne peut en dire de même pour sa version de pointe : la Fiat Uno Turbo ie (1985). Si tout le monde a loué sa mécanique remarquable avec une intégration de la suralimentation digne des GT les plus prestigieuses, Porsche 944 Turbo en tête, ses qualités dynamiques discutables l’ont empêché de profiter de ses talents mécaniques. Pour 1989, Fiat opère un facelift à l’ensemble de sa gamme Uno et en profite pour faire du ménage sous les capots et mettre des mécaniques revues. La Fiat Uno Turbo ie profite donc d’un toilettage de printemps qui ne dénature nullement la ligne originale de Giugiaro, mais au contraire l’inscrit mieux dans la gamme contemporaine de Fiat et lui redonne de l’élan. Le museau est plus plongeant et semble plus aérodynamique, avec une calandre affinée et des optiques avant dans le prolongement. Un véritable nouveau visage qui fait mieux fini et plus cossu. La poupe est intelligemment redessinée au niveau du hayon qui s’inspire de celui de la Fiat Tipo. Bien vu ! Les feux arrière bicolores rouges sont Lire la suite

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Fiat Uno Turbo ie

Fiat Uno Turbo ie

Fiat Uno Turbo ie
1985 – 4 cyl. en ligne 8V Turbo
105 ch – 200 km/h
845 kg

Dans un segment ultra-disputé, Fiat ne ménage pas ses efforts pour sa nouvelle Uno qui a pour mission de disputer la couronne de voiture la plus vendue d’Europe. Rien que ça ! Son lancement en 1983 à Cap Canaveral, indique que la petite citadine du constructeur de Turin est sur la rampe de lancement. D’ailleurs, dès l’année suivante, la Fiat Uno est élue voiture de l’année 84 devant la Peugeot 205. Son design cubique et aérodynamique signé Giugiaro, son habitabilité flatteuse dans un gabarit compact et ses moteurs pétillants ont achevé de lui assurer un sacré succès. Mais pour exister pleinement, il faut une locomotive GTI pour se mesurer aux ténors de la catégorie : Peugeot 205 GTI, Renault 5 GT Turbo et VW Golf 2 GTI pour ne citer que les meilleures représentantes du genre. C’est l’option de la suralimentation qui est retenue par Fiat pour sa Uno Turbo ie qui est présentée en avril 1985. Extérieurement, difficile néanmoins de remarquer la Fiat Uno Turbo ie comme une GTI, car la présentation est du genre discrète. Tout au plus note-t-on des jantes alu de 13 pouces au voile poli, les tours d’ailes en plastique noirs tout comme les boucliers enveloppants et le becquet de hayon. Les phares additionnels et les logotypes « turbo ie » complètent Lire la suite

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Maserati Racing Biturbo

Maserati Racing Biturbo (1991)

Maserati Racing Biturbo
1991 – 6 cyl. en V 24V Biturbo
284 ch – 256 km/h
1 300 kg

Maserati se rebiffe ? Sous l’égide d’Alejandro de Tomaso, la firme au trident semble enfin débarrassée des errements de fiabilité de la Biturbo. Il est ainsi temps de passer à l’action avec de nouveaux modèles exclusifs et ultra-performants comme la Chubasco annoncée pour plus de 400 ch et de la Shamal qui partagera le même V8 mais ramené à 325 ch. Dans les deux cas, c’est Marcello Gandini, déjà auteur du facelift de la gamme Biturbo depuis les 222/422/430 et Karif qui est à la planche à dessin. Mais si le Trident lorgne vers le gratin des GT, la gamme Biturbo contemporaine n’est pas oubliée pour autant. Ainsi, le 14 décembre 1990, de concert avec les deux « super » GT susnommées, Maserati dévoile une énième déclinaison de sa gamme Biturbo : la Maserati Racing Biturbo. Partant de la 2.24v Biturbo, Marcello Gandini va appliquer les recettes de la Shamal permettant ainsi de changer le regard de la Racing à moindre frais. Dans l’essentiel, notons une nouvelle calandre plus large aux bords épais qui devance des optiques lenticulaires. Les pare-chocs sont enveloppants et intègrent à l’avant les feux antibrouillards. A l’embase du parebrise, la petite touche spéciale « Gandini » est là avec un déflecteur aérodynamique qui masque partiellement les essuie-glaces. La malle arrière adopte un becquet pour générer un surcroît d’appui à haute vitesse et surtout donner une touche plus… « Racing » justement ! Les optiques arrière sont fumées comme sur la Shamal. Enfin on reconnaît d’office les jantes Lire la suite

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Maserati Ghibli II 2L0

Maserati Ghibli II 2L0 (1992)

Maserati Ghibli II 2L0
1992 – 6 cyl. en V 24V Biturbo
306 ch – 265 km/h
1 365 kg

Après la tonitruante mais élitiste Shamal, Maserati poursuit le développement de sa gamme Biturbo en dévoilant au salon de Turin 1992 sa nouvelle Maserati Ghibli II. Reprenant l’illustre patronyme de la GT des années 60-70, c’est néanmoins sur la base des carrosseries des Biturbo qu’est basée la nouvelle Ghibli. C’est comme de coutume dans la firme au Trident que tout est pioché dans la gamme Biturbo, ainsi que les artifices de style. Si la nouvelle Maserati Ghibli II s’inspire très nettement de la Maserati Shamal, sa base est totalement différente. Elle est en effet basée non pas sur la plateforme raccourcie des Karif/Spyder/Shamal, mais sur celle des Biturbo coupés dont l’empattement est plus long au bénéfice de l’habitabilité. Tous les tics stylistiques sont repris à la Shamal dont Marcello Gandini est le maître d’œuvre. Deux objectifs dans ce relooking spécial : agressivité et aérodynamisme. Pour la première partie, le postulat de départ est parfaitement rempli, en témoigne les ailes élargies et musclées, la calandre frappée d’un gros trident ou encore les optiques de phares lenticulaires de la Shamal logés derrière une vitre. Côté aéro, la Maserati Ghibli II fait des progrès remarquables. Les gros boucliers sont Lire la suite

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Maserati Shamal

Maserati Shamal V8 Biturbo (1990)

Maserati Shamal V8 Biturbo
1990 – 8 cyl. en V 32V Biturbo
326 ch – 270 km/h
1 385 kg

Maserati sous l’égide d’Alejandro de Tomaso connait des hauts et des bas depuis sa reprise. Toute la stratégie initiale a été misée sur la Maserati Biturbo dont la vocation initiale était de concurrencer notamment BMW. Mais le sémillant argentin a de la suite dans les idées et affiche des ambitions d’expansion. Ainsi, coup sur coup, Maserati se lance dans l’étude d’une berlinette à moteur central arrière baptisée Chubasco qui devait concurrencer les Lamborghini et Ferrari, et d’une Grand Tourisme exclusive à très haute performance : la Maserati Shamal. La prise de participation de Fiat dans le capital de la firme de Modène va mettre fin à l’aventure Chubasco, mais pas de la Shamal déjà très avancée en développement. Et après tout, Ferrari ne possède pas dans sa gamme de GT à moteur avant équivalente. Comme pour les améliorations esthétiques apportées sur le dessin originel d’Andreani depuis la Maserati 222, c’est Marcello Gandini qui est missionné pour dessiner la Maserati Shamal. Enfin, « dessiner »… il faut le dire vite, car la tâche du designer italien est des plus ardues puisqu’il doit composer avec des emboutis existants afin de réduire les coûts. La base est la Maserati Spyder (ou Merak) avec son empattement court. Passage à la salle de musculation pour élargir les épaules et la croupe (+10 cm), donnant ainsi une emprise au sol plus apte à digérer la fougue du V8 biturbo. Gandini sort le grand jeu pour démarquer le plus possible la Shamal des autres Biturbo. Citons ainsi dans le désordre une calandre plus large et des optiques lenticulaires, des boucliers enveloppants, une malle arrière surélevée qui sert également d’appui, et des bas de caisse. Les phares arrière sont fumés et reliés par une bande de la même teinte. Marcello Gandini soigne également les détails comme le déflecteur de capot qui masque les essuie-glaces, tandis qu’un faux arceau noir tranche avec la couleur de la carrosserie (si elle n’est pas noire) sur lequel est inscrit « Shamal ». Enfin, petite touche d’originalité chère à Gandini, l’arche de roue arrière n’est pas rond mais biseauté sur sa partie haute, Lire la suite

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Bugatti EB110 GT

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Bugatti EB110 GT
1991 – 12 cyl. en V 60V Turbo
560 ch – 338 km/h
1 800 kg

Romano Artioli et Jean-Marc Borel se sont mis en tête de faire renaître Bugatti. Une idée qui a nécessité de nombreux et coûteux efforts (rachat de la marque à Messier), construction d’une usine inédite et ultra-moderne à Campogalliano (Italie) et conception d’une super Grand Tourisme qui doit assumer son héritage avec talent et passion. Rien que ça ! Paulo Stanzani (ex-Lamborghini) est alors chargé de projet et c’est Marcello Gandini qui est aux crayons. Mais coup de tonnerre, rien ne marche comme prévu, et le bouillant patron italien Artioli décide contre toute attente de se séparer de Stanzani en cours de route, et peu de temps après juge le design proposé par Gandini pas assez marqué « Bugatti » et trop proches des réalisations passées du designer italien, ancienne star de la Carrozzeria Bertone. Pour cette année 91, la Bugatti EB 110 GT est (enfin) dévoilée officiellement avec Alain Delon comme parrain. C’est le designer maison Giampaolo Benedini qui va terminer le travail et donner un style personnel plus en phase avec Bugatti. Mais ces atermoiements offrent un résultat somme toute mitigé qui peine à séduire le public. Nous sommes loin de l’élégance d’une Jaguar X220 ou de la bestialité d’une Ferrari F40. Il faut avouer que la ligne de la Bugatti a été non seulement dictée par son architecture, mais également par des impératifs aérodynamiques et de refroidissement dû aux très hautes prestations Lire la suite

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Ferrari California T

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Ferrari California T
2014 – 8 cyl. en V 32V Turbo
560 ch – 310 km/h
1 730 kg

Depuis 2009, la Ferrari California a marqué de sacrés jalons dans l’histoire de Ferrari. Véritable succès, Ferrari revoit sa copie pour 2014 avec le retour à la suralimentation pour le V8 comme du temps des 288 GTO, F40 et 208 GTS/GTB. Et quitte à offrir un nouveau moteur, Ferrari a également retouché habilement la ligne de la Ferrari California. Le museau s’est affiné et semble plus aérodynamique avec des optiques nettement plus élégantes, Lire la suite

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