Audi S8 1996

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Audi S8
1996 – 8 cyl. en V 32 V
340 ch – 250 km/h
1 900 kg

Depuis février 1994, Audi entame son 2e opus dans le segment des limousines de luxe et de prestige avec son A8 succédant à l’Audi V8. L’A8 se démarqua immédiatement de ses rivales (Classe S et Série 7) par une structure tout alu (Audi Space Frame) pour limiter le poids et par une ligne à la fluidité sobre et élégante. Histoire d’enfoncer le clou, et prouver qu’Audi ne vient pas faire de la figuration, Ingolstadt nous présente en septembre 1996 la version S8. Au programme, Lire la suite

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BMW Série 1 M Coupé E82

BMW 1 Series M Coupe E82

BMW Série 1 M Coupé E82
2011 – 6 cyl. en ligne 24V Turbo
340 ch – 250 km/h
1 495 kg

Depuis 2007, BMW a tenté de combler un trou de souris dans sa gamme avec sa Série 1 Coupé. Basée sur la BMW Série 1, ce coupé, coincé entre la série 1 3 portes et la série 3 coupé, peine à séduire le public français (moins de 1 200 ventes en 2009 !). Mais BMW a plus d’un piston dans ses cylindres, et nous livre une version Motorsport que le public va certainement appeler « M1 ». Avec ses hanches et épaules élargies, faisant passer la 135i Coupé Lire la suite

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Nissan 370 Z

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Nissan 370 Z
2009 – 6 cyl. en V 24V
331 ch – 250 km/h
1 496 kg


Malgré un air de famille évident avec la 350Z qui a été diffusée à 300 000 exemplaires de 2002 à 2009, le 370Z est totalement inédit avec des proportions nettement modifiée : -10 cm en empattement, -6,5 cm en longueur mais +3 cm en largeur et des voies également élargies. La génétique sportive est toujours à l’honneur avec un V6 qui grimpe à 331 ch et 3,7 litres rageur Lire la suite

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Aston-Martin Virage 1989

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Aston-Martin Virage 1989
1989 – V8 32V
335 ch – 250 km/h
1 790 kg

Figée depuis les années 70, Aston Martin renaît enfin sous les bons soins de la Ford Motor Companie. Présentée au salon de Birmingham en 1988, il faut attendre 1990 pour apprécier l’Aston Martin Virage dans les show-rooms Aston Martin. La ligne d’origine des Aston DBS et V8 Lire la suite

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Alpina B7 Turbo Coupé E24

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Alpina B7 Turbo Coupé E24
1985 – 6 cyl. en ligne 12V Turbo
300 ch – 250 km/h
1 550 kg

Depuis les années 60, à Buchloe, fief d’Alpina, on se fait fort de donner du tonus aux BMW. La BMW série 6 (E24), n’échappe pas à cette tradition et profite même d’une déclinaison exceptionnelle : l’Alpina B7 Turbo de 300 ch. Chez BMW Motorsport, la M635 CSi, quelques années plus tard, a préféré une solution atmo, mais Alpina Lire la suite

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Porsche 930 Turbo 3L3

Porsche 930 Turbo 3L3

Porsche 930 Turbo 3L3
1977 – 6 cyl. Flat 6 Turbo 12V
300 ch – 260 km/h
1 195 kg

Au salon de Paris 1974, Porsche a jeté un pavé dans la mare des supercars et super GT avec sa nouvelle Porsche 930 Turbo 3L0. La Porsche 911 se fâche ? En quelque sorte… Conservant intactes les qualités intrinsèques de la Porsche 911 (polyvalence d’usage, finition, impression de robustesse, performances, caractère du Flat 6, pilotage singulier mais efficace pour qui sait, places arrière d’appoint…), le turbocompresseur KKK a jouté une « turbodimension » avec des performances d’un autre monde ! Voilà la Porsche 930 Turbo qui change les codes de cette catégorie, avec des performances diaboliques et des accélérations à couper le souffle, mais sans pour autant sacrifier les autres qualités énumérées plus haut. Et histoire de conserver son avance, la Porsche 930 Turbo adopte un Flat 6 plus dès juillet 1977, lui autorisant ainsi un regain de performances et une puissance portée à 300 ch. Seuls les afficionados du modèle sauront reconnaitre cette nouvelle variante au premier coup d’œil en raison des jantes de 16 pouces qui Lire la suite

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de Tomaso Pantera GTS

de Tomaso Pantera GTS

de Tomaso Pantera GTS
1973 – 8 cyl. en V 16V
330 ch – 256 km/h
1 330 kg

Depuis 1971, Alejandro de Tomaso a réussi son impossible pari ! Tenir la dragée haute à Ferrari, Maserati et Lamborghini. Rien que ça… Il faut avouer que son entregent et ses idées fixes lui ont permis de construire les premiers jalons avec la de Tomaso Mangusta et de lui ouvrir les portes de Ford. Il profite de la lancée du programme Ford Total Performance (qui conduit Ford à remporter les 24 Heures du Mans avec la Ford GT 40 et aussi à lancer la Ford Mustang en 1964) initié par Lee Iaccoca et Henry Ford II. En 1971, la de Tomaso Pantera va être conçue avec le sponsor de Ford qui va distribuer cette GT italo-américaine dans son réseau de concessionnaires Mercury-Lincoln. Et voilà de Tomaso qui vend autant de Grand Tourisme que ses rivaux. Pour 1973, alors qu’une variante Lusso (« L » pour Luxe en italien) a été ajoutée l’année précédente, Alejandro de Tomaso ajoute une nouvelle variante GTS : plus sportive, pus performante et plus vindicative. Partant de la base initiale tracée par Tom Tjaarda (Ghia), des élargisseurs d’ailes sont adoptés, pour une assise plus virile, les échappements pointent désormais vers le ciel suivant ainsi la poupe et surtout la de Tomaso GTS cède à la mode du noir mat qui se propage sur les capots, et les bas de caisse, mordant même sur les portières. Des feux additionnels Lire la suite

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Ford GT40 Mk3

Ford GT40 Mk3 (1967)

Ford GT40 Mk3
1967 – 8 cyl. en V 16V
306 ch SAE – 260 km/h
1 061 kg

En 1963, Ford construit sa première GT en partant de l’excellente base conçue par Erik Broadley (la Lola GT Mk6). Le constructeur américain n’a de cesse de vouloir moucher Enzo Ferrari et la Scuderia histoire de laver l’affront des négociations de rachat avorté. Et cette initiative s’inscrit également dans le programme « Ford Total Performance » qui doit rajeunir l’image de marque du constructeur à l’ovale. Premier pavé dans la mare de ce programme, avec la Ford Mustang présentée en 1964. Côté circuit, la Ford GT 40 doit remporter les 24 Heures du Mans. Mais la course mancelle ne s’offre pas au premier venu, même avec de beaux moyens techniques et financiers. John Wyer, Carroll Shelby et Lee Iaccoca sont dans les principaux artisans de l’énergie mise dans cette initiative. Mais il faudra attendre 1966 pour que la Ford GT 40 Mk2 triomphe enfin au Mans avec un triplé historique. Ford poursuit son engagement en compétition mais développe pour 1967 une version routière. C’est Ford Advance Vehicles (FAV) qui a pris les choses en main, en parallèle des GT 40 Mk1 routières adaptées par John Wyer. Ford va mettre des nouvelles optiques de phare plus hautes imposant un museau inédit. Nouveau également, la poupe allongée pour laisser de la place pour Lire la suite

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Maserati Bora 4L7

Maserati Bora 4L7

Maserati Bora 4L7
1971 – 8 cyl. en V 16V
310 ch – 270 km/h
1 500 kg

L’ingénieur en chef de Maserati, le célèbre Giulio Alfieri, s’est lancé un défi à la fin des années 60. Concevoir une nouvelle GT à moteur central arrière, mais avec pour obsession le maintien de l’esprit Grand Tourisme : à savoir un minimum de confort et de luxe. Une démarche qui est initiée alors en pleine période Citroën puisque la firme du Quai de Javel a racheté Maserati en 1968. La Maserati Bora est ainsi développée sous le patronage de Citroën (donc de Michelin, toujours propriétaire de Citroën) et Giulio Alfieri va pouvoir piocher dans la banque d’organe hydraulique Citroën, nous y reviendrons peu après. C’est vers Giogetto Giugiaro (Ital Design) que Maserati se tourne pour dessiner cette nouvelle GT à moteur central arrière. Le constructeur italien mise ainsi sur une continuité stylistique avec la Ghibli et l’Indy également tracées chez Ital Design. Le designer s’en est tiré admirablement, car le cahier des charges imposait notamment un empattement long (2,6 mètres, soit 10 cm de plus qu’une Lamborghini Miura et 20 cm de plus qu’une Ferrari Daytona) avec une longueur contenue à 4,34 mètres. Le résultat est convaincant avec une GT qui semble plus menue qu’elle ne l’est en réalité. La clé de son succès est une proue fine et plongeante avec ses phares escamotables, et une ligne de toit type fastback. Et pour clore cela un pan coupé inversé joue les figures de… poupe ! La découpe des vitres latérales est faite d’arrondis forts distingués, faisant ainsi de la Maserati Lire la suite

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Maserati Ghibli II Cup 2L0

Maserati Ghibli II Cup 2L0 (1996)

Maserati Ghibli II Cup 2L0
1996 – 6 cyl. en V 24V Biturbo
330 ch – 270 km/h
1 365 kg

Au Salon de Bologne en décembre 1995, Maserati dévoile différentes nouveautés sur le thème de la Ghibli II. Celle qui retient notre attention est la version Cup destinée à poursuivre l’idée de la compétition monomarque déjà expérimentée avec succès avec la Maserati Barchetta. Et comme souvent avec les voitures de compétition, elle a son pendant sur la route pour permettre l’homologation. Basée sur la Maserati Ghibli II, la Ghibli II Cup reprend ainsi à son compte beaucoup de modifications apportées à la version course, tant dans ses trains roulants, sa structure que pour son V6 Biturbo. Plus basse avec sa suspension rabaissée, la Maserati Ghibli Cup est reconnaissable en premier lieu à ses nouvelles jantes Speedline Aliseo en alu démontables de 17 pouces. Un logotype « Ghibli Cup » est apposé Lire la suite

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