Porsche 928 GTS

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Porsche 928 GTS
1992 – 8 cyl. en V 32V
350 ch – 274 km/h
1 620 kg

Lorsque Porsche dévoilait la 928 en 1979, le contexte était délicat (chocs pétroliers) et la puissance avait été amputée. Démarrage complexe avec pour mission de remplacer la Porsche 911. En 1992, la Porsche 911 est plus que jamais en croissance, et Porsche opère par retouche à sa GT Lire la suite

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Aston-Martin Virage 1989

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Aston-Martin Virage 1989
1989 – V8 32V
335 ch – 250 km/h
1 790 kg

Figée depuis les années 70, Aston Martin renaît enfin sous les bons soins de la Ford Motor Companie. Présentée au salon de Birmingham en 1988, il faut attendre 1990 pour apprécier l’Aston Martin Virage dans les show-rooms Aston Martin. La ligne d’origine des Aston DBS et V8 Lire la suite

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Ferrari 456 GT

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Ferrari 456 GT
1994 – 12 cyl. en V 48V
442 ch – 302 km/h
1 790 kg

Après l’arrêt de la Ferrari 412i et sa longue carrière de 18 ans (!), les amateurs de Ferrari V12 2+2 en étaient pour leurs frais ! Rien, « nada »… Retardée par Luca Montezemolo pour une mise au point optimale en pleine stratégie de retour à la rigueur sans oublier passion et performance à Maranello, la Ferrari 456 GT arrive en 1994. Et quelle arrivée ! Un design signé Lire la suite

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Mercedes-Benz 420 SEC W126

Mercedes-Benz 420 SEC W126

Mercedes-Benz 420 SEC W126
1985 – 8 cyl. en V 16V
218 ch – 218 km/h
1 600 kg

Depuis 1981, Mercedes-Benz a remis les pendules à l’heure dans le monde du coupé bourgeois et racé. Si la génération précédente (W107) ne manquait pas d’atout, son destin partagé avec le Mercedes-Benz SL lui imposait une plateforme raccourcie et un design certes original, mais moins élégant que les coupés S du passé. Les coupés SEC basés sur la berline S W126 reprennent donc la tradition d’un coupé 4 places confortable, mais à la ligne élancée et statutaire. Bruno Sacco responsable du design de Mercedes-Benz et son équipe ont donc repris comme base la plateforme de la berline Classe S mais avec un empattement raccourci de -2,3 cm. L’aveu de réaliser une carrosserie plus aérodynamique est concrétisé par un Cx de 0,34. Preuve qu’on peut réaliser une belle auto qui est également efficace en aérodynamique. Pour 1985, Mercedes-Benz revoit légèrement sa copie sur l’ensemble de la gamme S W126, berlines et coupés, Lire la suite

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Maserati 222 SR Biturbo

Maserati 222 SR Biturbo (1991)

Maserati 222 SR Biturbo
1991 – 6 cyl. en V 18V Biturbo
250 ch – 230 km/h
1 308 kg

Croyez-le ou pas, mais la saga des Biturbo ne cesse de se renouveler et se décliner. Notamment depuis la commercialisation en 1990 de la Maserati Shamal puis de la plus « populaire » (il faut le dire vite !) Racing en 1991, un nouveau visage signé Marcello Gandini a été instauré. Alors certes, le talentueux designer italien a du composer avec des impératifs budgétaires précis en conservant à l’identique les emboutis existants. C’est donc toute la face avant qui est repensée sur la Maserati 222 SE qui s’appelle désormais « SR » et non plus « SE ». Les amateurs éclairés des Maserati Biturbo savent ainsi d’emblée que nous sommes en présence d’une Biturbo à moteur V6 de 2,8 litres de cylindrée, réservé généralement aux marchés d’exportation (vs l’Italie considérée comme le marché domestique de la firme de Modène). La Maserati Racing cède donc sa nouvelle calandre plus large et aux contours plus affirmés, tandis que les optiques lenticulaires font leur apparition, bien dans le ton de son époque, mais s’intégrant néanmoins curieusement dans le dessin d’ensemble. De profil, peu de changement hormis de menus détails à commencer par le becquet aérodynamique à l’embase du pare-brise pour optimiser le flux d’air vers les essuie-glace et apporter la touche personnelle de Marcello Gandini. Le reste est Lire la suite

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Mercedes-Benz CL 500 C215

Mercedes-Benz CL 500 C215

Mercedes-Benz CL 500 C215
1999 – V8 24V
306 ch – 250 km/h
1 865 kg

Fini la crise financière des années 90, la firme à l’étoile tourne la page… un chapitre même ! Avec une offensive tout azimut, Mercedes-Benz développe un haut de gamme et même plus (Maybach, SLR McLaren) pour séduire une clientèle avide de différences et de luxe. Mais avant cela, c’est le coupé CL dérivé de la plateforme de la statutaire Classe S qui vient en 1999 remettre une saga qui s’était perdue en cours de route avec la génération C140 définitivement trop lourde et massive. La nouvelle Mercedes-Benz CL C215 étire sa silhouette pour mieux l’affiner. Pourtant, les apparences sont trompeuses puisque cette nouvelle génération est plus courte de 7,2 cm et moins large de 5,5 cm. L’empattement est également raccourci de 6 cm et la hauteur de 5,4 cm. Fluide et terriblement élégant cette impression se confirme dans la soufflerie avec un Cx de 0,29. Tous les tics stylistiques de la saga des coupés Classe S sont conservés (ouf !) à l’instar des vitres latérales sans montant central, la ligne tendue et le long capot. La proue est plus dynamique que par le passé et cède à la mode des doubles optiques rondes et la calandre intégrée, grosse étoile bien centrée. Porte-à-faux avant court et arrière allongé, la Mercedes-Benz CL 500 C215 cultive l’art de l’élégance Lire la suite

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TVR Cerbera Speed Six AJP-6

TVR Cerbera Speed Six AJP-6
1998 – 6 cyl. en ligne 24V
350 ch – 270 km/h
1 163 kg

Peter Wheeler le patron de TVR est aussi fin connaisseur qu’idéaliste. Aussi, après un V8 maison dont les racines et la conception sont très largement inspirées de la course automobile (d’ailleurs ce V8 fut préalablement testé dans le Tuscan Challenge), c’est vers un 6 cylindres en ligne qu’il jette son dévolu. Ambassadeur de l’Union Jack, il n’a pas oublié que le 6 en ligne fit les heures de gloire des Grand Tourisme et roadsters britanniques chez Aston-Martin et Jaguar dans les années 50 et 60. D’ailleurs, se plait-il à répéter, James Bond lui-même ne roule-t-il pas dans une Aston-Martin DB5 avec un 6 en ligne sous le capot. Il missionne donc une nouvelle fois Al Melling pour le design et les plans d’un six en ligne inédit 100% TVR et c’est John Ravenscroft qui se charge de l’industrialiser. Ce choix du six en ligne est dicté par une volonté d’apporter une réponse différente en matière de personnalité et d’usage à la TVR Cerbera éponyme. C’est donc une variante supplémentaire qui vient rejoindre le catalogue Cerbera avec pourtant un réel intérêt sans création de doublon inutile. Les TVR Cerbera V8 sont plus exhubérantes et intransigeantes, en un mot ultra-sportives échappées des circuits, alors que la TVR Cerbera Speed Six AJP-6 vient plus jouer sur les terres des Jaguar XKR et Aston-Martin DB7 pour rester au Royaume Uni. Extérieurement difficile de distinguer une TVR Cerbera Speed Six AJP-6 de ses sœurs V8. Seul le monogramme « Cerbera Speed Six » qui sert également de commande d’ouverture de Lire la suite

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Maserati 222 SE Biturbo

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Maserati 222 SE Biturbo
1990 – 6 cyl. en V 18V Biturbo
250 ch – 230 km/h
1 308 kg

Depuis 1988, la gamme Biturbo est dénommée 222 comme pour chasser la mauvaise réputation qui colle au patronyme Biturbo. C’est Marcello Gandini qui avait alors eu le privilège de retoucher (très ! trop ?) subtilement le trait de Pierangelo Andreani qui commence à accuser le poids des années. Avec la sortie de la Maserati 2.24v Biturbo, Maserati a inauguré des nouveaux boucliers plus enveloppants réactualisant la ligne de la Biturbo avec un certain succès. Maserati joue ainsi au jeu du copier/coller et applique les mêmes recettes stylistiques que la 2.24v aux autres modèles. La Maserati 222 E Biturbo devient ainsi 222 SE Biturbo arborant fièrement ses nouveaux attributs. Machoire plus carrée avec des boucliers enveloppants épousant (enfin !) plus harmonieusement les phares additionnels, tandis que le bouclier arrière intègre les deux double sorties d’échappement. Les observateurs avertis remarqueront que les le chrome a été banni ou presque ne subsistant que pour le Trident dans la calandre totalement noire mat ou encore les monogrammes de malle arrière. Même Lire la suite

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Maserati 222 E Biturbo

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Maserati 222 E Biturbo
1988 – 6 cyl. en V 24V Biturbo
225 ch – 230 km/h
1 175 kg

Difficile de suivre la saga des Maserati Biturbo tant le propriétaire de la marque, le passionné et fort en caractère Alejandro de Tomaso joue avec les différents éléments de son puzzle industriel sous le signe du Trident. Coupé, Spyder, berline, trois empattements, plusieurs V6 biturbo (2,0 ; 2,5 ; 2,8)… pas évident de s’y retrouver. Pour simplifier le propos, on peut retenir déjà trois séquences dans la « story Biturbo ». En 1981, le lancement de ce coupé qui va vite après un énorme succès (plus de 8 000 exemplaires en 2 e 2,5 litres) et essuyer les plâtres d’une mise au point bâclée. En 1985, Maserati corrige le tir avec la Biturbo II qui élimine beaucoup de défaut de conception. Il était temps, mais le mal est fait ! Pour 1988, Alejandro de Tomaso a fait appel à Marcello Gandini pour retoucher à moindre frais le style tracé par Pierangelo Andreani. Ainsi les arêtes de capot sont plus douces, tout comme les contours de la calandre maison. Les rétroviseurs extérieurs sont inédits et plus modernes. Et… c’est tout ! Si, désormais la Maserati Biturbo s’appelle 222 comme pour conjurer le sort et lui enlever l’étiquette désastreuse qui lui colle à la carrosserie. Mais là nous sommes face à la Maserati 222 E Biturbo. Un petit « E » qui Lire la suite

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Jaguar XJR-S

Jaguar XJR-S
1991 – 12 cyl. en V 24V
333 ch – 255 km/h
1 800 kg

La Jaguar XJS (née XJ-S) semble intemporelle. Depuis 1975, aucune réelle modification esthétique n’est venu modifier le trait originel et cette ligne devenue une véritable signature de la firme de Coventry. Lancée en pleine crise pétrolière et au pire moment de l’existence de Jaguar, le coupé XJS peina à convaincre et surtout ne profita jamais de version plus puissante. C’est plutôt l’inverse qui se produisit pour faire diminuer des consommations copieuses à une époque où le cours du pétrole s’envolait. Mais en 1990, la donne est enfin propice à une version de pointe. C’est le TWR (Tom Walkinshaw Racing) qui va être mis à contribution, faisant déjà des beaux résultats en championnat du monde d’endurance. Cette version sportive dénommée XJR-S 5.3 litres est commercialisée en août 1989 et durera jusqu’au mois d’août 1990 histoire de préparer le terrain… Pour 1991, le V12 passe à 6 litres tandis. Et ses nouvelles prétentions sportives la Jaguar XJS-R 6L0 souhaite les afficher même à l’arrêt avec un kit agressif complet comprenant des boucliers avant et arrière, un aileron de malle AR, et des jantes alu 16 pouces à profil bas. Une approche qui dénature quelque peu la ligne d’origine qui joue plus dans le noble et élégant que dans le m’as –tu vu ! Beaucoup de chromes sont Lire la suite

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